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Assureur : passez d’une logique de protection contre le risque à la prévention

L’exemple du risque immobilier à l’aide de la constitution d’un fonds de travaux

L’accroissement de la sinistralité relative aux catastrophes naturelles conduit les assureurs à observer une hausse de la sinistralité, et par voie de conséquence, d’appliquer une hausse de leur cotisation d’assurance.

Or, il convient de souligner que la prévention permet de diminuer la sinistralité.

En matière de risques immobiliers, la constitution d’un fonds de travaux par les particuliers, consisterait à préveler en sus de la cotisation d’assurance une quote-part qui ne serait pas un prélèvement, mais qui serait réinvestit dans des placements sans risque afin d’être mobilisable lors de la survenance d’un risque.

Il convient de noter que ce principe est d’ores et déjà applicable aux syndics de copropriété.

Ce fond de travaux serait opportun pour les raisons suivantes :

  • Pré-financement des travaux de prévention,
  • Maîtrise du risque,
  • Réduire le coût des éventuelles réparations,
    En effet, les travaux de prévention sont moins coûteux que les travaux de réparation.

Par ailleurs, la constitution d’un fonds de travaux permet aux propriétaires de logement d’assurer les dépenses d’entretien lorsque les cycles économiques sont récessifs, pour réaliser une politique économique contra-cyclique.

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IA : Assurer la rémunération des producteurs de contenus via une ICO

Les modèles d’IA (Intelligence Artificielle) ont besoin de contenus pour s’exercer et accroître leur niveau de perfectionnement.

Dans le même temps, les producteurs de contenus se trouvent directement en concurrence avec les IA dans leur coeur de métier.

Par conséquent, afin d’assurer la rémunération des producteurs de contenus, il conviendrait que les développeurs des IA constituent des ICO (Initial Coin Offring) dont une partie de l’émission de jeton (token) serait réservé aux producteurs de contenus.

En effet, en l’absence de rémunération des producteurs de contenus, la production artistique, journalistique… va s’appauvrir et donc également nuire aux concepteurs d’IA.

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Comment favoriser la résilience de notre pays aux évolutions du macro-environnement

Afin d’assurer l’adaptation de nos économies aux différentes mutations (écologiques, environnementales), il faut convient de stimuler les investissements de différentes natures (humain, et économique) du corps social.

Cette hausse de l’investissement ne peut être obtenue qu’à l’aide de l’accroissement de la productivité du travail qui permet de réaffecter le temps des salariés vers des tâches plus créatives.

Par ailleurs, le secteur privé assurant l’essentiel de l’activité économique, il est essentiel de s’assurer un investissement soutenu de sa part pour stimuler les investissements dans les différentes thématiques qui permettent à chaque citoyen d’être capable de s’adapter aux évolutions du macro-environnement (économique, et technologique). Cependant, si l’analyse de la rentabilité des investissements sont jugés à l’aune de critères financiers, il conviendra également d’intégrer d’autres paramètres qui sont liés aux exigences de la RSE (Responsabilité Sociale et Environnementale).

Des entreprises qui investissent en commun, au niveau de leur secteur en croissant leurs compétences avec celles d’autres secteurs

Cependant, si les entreprises sont un vecteur essentiel de l’adaptation d’un pays aux enjeux, il convient de ne pas omettre que leurs investissements doivent également être réalisés en commun, afin de faire évoluer les pratiques sectorielles et ainsi, obtenir un impact plus fort.

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Association : Pour libérer les énergies, pour un aggiornamento financier !

Dans le cadre de leur activité, les associations bénéficient de l’apport de leur bénévole, ainsi que des moyens matériels, et pour la plus significative d’entre elles, de subventions.

Afin que les pouvoirs publics puissent mener des politiques publiques qui concernent l’intégralité de la population, il convient de s’interroger quant aux modalités de détermination de la politique de subvention, de contrôle financier des associations, et d’évaluation de l’impact de leurs actions.

Par ailleurs, ces mesures s’inscrivent dans le cadre de la protection de la responsabilité civile des dirigeants de l’association.

Enfin, ces mesures permettent d’accroître le niveau de transparence financière des comptes annuels qui sont régulièrement établi et diffusé par l’association. En effet, la complexité de la consultation des données comptables nécessite d’ajouter des informations complémentaires afin de parfaire l’information des tiers.

L’amélioration des dispositifs de contrôle interne des associations

Les dispositifs de contrôle interne des associations sont comme les petites et moyennes entreprises assez peu souvent formalisés, notamment sur les points suivants :

  • Séparation des fonctions en matière de gestion de la trésorerie

Les paiements ne font pas l’objet d’un contrôle formalisé par le trésorier, mais d’un contrôle général qui ne garantie pas l’exhaustivité et ne permet pas de contrôler les diligences effectivement réalisées par le trésorier en matière de contrôle.

  • Engagement des dépenses

Le processus d’engagement des dépenses repose sur la direction de l’association, et le contrôle du trésorier n’est pas suffisamment formalisé.

Par ailleurs, les financeurs de l’association n’ont que peu de visibilité sur les modalités financières des opérations engagées par les associations.

  • Contrôle de l’effectivité des dépenses

Dans le cadre de la constitution de la Piste d’Audit Fiabilisé (PAF), la direction des associations doit s’assurer que les prestations acquises font l’objet d’un contrat, et que la délivrance de cette prestation peut être corroborée par un justificatif (bon de livraison, feuille de temps, compte-rendu…).

Il convient de souligner les diligences réalisées par l’expert-comptable permettent d’assurer la sincérité des comptes, et éviter des détournements d’actifs significatifs.

De manière assez curieuse, nous pouvons considérer que le secteur associatif ressemble au secteur privé, dans le sens où l’offre est constituée par des personnes souvent diplômées de l’enseignement supérieur et que les associations peuvent ne pas satisfaire l’intégralité des besoins exprimés par la population.Ainsi, les collectivités locales doivent s’interroger sur leur écosystème associatif et s’assurer que cet écosystème couvre l’ensemble des besoins de la population.

Le compte-rendu d’activité des associations

Le rapport financier, moral, et d’activité des associations ne sont pas restitué sous un format homogène, ce qui nuit à l’analyse automatisée des informations qui doivent être communiquée par les associations.

Ainsi, sous imposer un format rigide qui s’imposerait à toutes les associations, qui créerait de la complexité difficilement supportable pour des organisations qui ne survient que grâce à la volonté de leurs bénévoles, il convient de s’interroger quant à l’opportunité de constituer un référentiel unique afin d’optimiser le traitement des informations qui sont communiquées par les associations.

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Pour un perfectionnement de la start-up nation

Sous l’effet de la théorie économique, les dirigeants politiques ont souhaité favoriser l’éclosion de start-up afin de stimuler l’innovation, accroître la productivité, et garantir la compétitivité de leurs économies.

Cependant, l’examen des modalités de mises en œuvre de ces principes se heurte à de multiples difficultés, tels que : perte de temps des intervenants en recherche de financement, précarisation des travailleurs indépendants, dispersion de moyens (humains notamment), impact qui pourrait être plus élevé.

Face à ces difficultés, nos solutions sont les suivantes :

  • Qualifier et garantir les droits des travailleurs indépendants,
  • Raisonner en termes d’impact sur l’économie et la société,
  • Identifier les économies d’échelles.

Les difficultés

Au début de leur expérience entrepreneuriale, les startupeurs ont des difficultés à définir précisément leur projet entrepreneurial.

Par ailleurs, l’expérience des startupeurs montrent qu’ils rencontrent des difficultés de financement de leur projet, et qu’ils consacrent un temps significatif à la recherche de financement.

Cette recherche de financement, et l’absence d’emploi salarié placent ces startupeurs dans une situation de précarité économique.

Ensuite, les startupeurs étant souvent seul maître à bord de leur projet, ils doivent maîtriser toute une palette de compétences qui sont difficilement réunissables en une seule personne, ainsi, l’apport d’une organisation (entreprise, administration) apparait comme étant essentiel sur ce point.

Enfin, lorsque les starupeurs parviennent à convaincre leurs financeurs de la faisabilité économique de leur projet, ils sont souvent soumis à des contraintes budgétaires sous l’effet soit de limites qui sont imposées par des organes étatiques, soit à des investissements limités afin d’accroître la rentabilité à court terme.

Les solutions

Afin de conforter l’écosystème startup et de poursuivre la dynamique de l’innovation, nos recommandations sont les suivantes :

  • Garantir des droits aux travailleurs indépendants (starupeurs)

Dans le cadre de projet financé par des organismes étatiques, il faut se soucier du sort des startupeurs qui ont obtenu des financements afin de mettre en œuvre son projet, et qui une fois celui-ci mis en œuvre, place le startupeurs dans une situation personnelle précaire.

Pour ce faire, il convient de s’interroger si le projet qui a été mis en œuvre pourrait-il être déployé de manière plus large, afin d’accroître l’impact de projet innovant sur l’économie et la société.

Ainsi, le potentiel approfondissement du projet permet de valoriser l’idée originale du startupeur, de diffuser une culture de l’innovation, des produits ou des services innovants, et d’assurer un revenu régulier aux startupeurs, source également de recettes fiscales.

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Comprendre le bilan de son entreprise !

La lecture du bilan comptable peut sembler obscure aux non-spécialistes, cependant, ce document peut récèle de nombreuses informations quant à l’état de santé de votre entreprise.

Le bilan comptable et le compte de résultat peut permettre :

  • L’analyse des performances de l’entreprise
  • L’anticipation de difficulté de trésorerie
  • L’analyse du risque de perte
  • D’évaluer la capacité d’emprunt

L’analyse des performances

A partir des Soldes Intermédiaires de Gestion (SIG), on peut obtenir les ratios suivants :

Il est fortement recommandé de comparer les ratios de votre entreprise avec ceux du secteur.

  • La Valeur Ajoutée (VA)

Cet indicateur représente la création de valeur générée par l’entreprise.

Ce que l’entreprise a ajouté comme valeur économique aux biens et services acquis et qui sont directement rattachés à son activité.

L’évolution de la valeur ajoutée peut être liée à la dégradation du taux de marge, à un accroissement du recours à la sous-traitance.

De cet indicateur, on peut en tirer un ratio de productivité du personnel tel que :

Valeur Ajoutée divisé par Effectif

  • L’Excédent Brut d’Exploitation (EBE)

Valeur Ajoutée – Impôts – Charges de personnel

L’EBE est un indicateur qui permet de mesurer la capacité de l’entreprise à générer un revenu. Cependant, cet indicateur est supposé neutre puisqu’il n’est pas influencé par la politique d’amortissement des actifs.

Il apparait comme étant particulièrement utile dans les secteurs d’activité mobilisant peu de capital.

  • Le Résultat d’Exploitation (RE)

EBE – Dotations aux amortissements des actifs

Comme l’EBE, le résultat d’exploitation mesure la création de valeur de l’entreprise grâce à son activité, indépendamment de sa structure financière qui sera retracée dans le résultat financier.

L’anticipation de difficulté de trésorerie

Le bilan fonctionnel qui comporte quelques différences avec le bilan tel qu’il est présenté usuellement permet de comprendre et d’anticiper les besoins de trésorerie de l’entreprise.

Tout d’abord, étudions la structure financière de l’entreprise à l’aide du “haut de bilan” en obtenant le Fonds de Roulement Net Global (FRNG).

Fonds de Roulement Net Global = Ressources stables – Emplois stables

En synthèse, le FRNG représente la trésorerie disponible pour couvrir le Besoin de Fonds de Roulement (BFR), ou en d’autres termes, la trésorerie qui permet à l’entreprise de financer ces créances clients, et ces stocks.

Un FRNG largement positif signifie également que l’entreprise peut investir.

Pour le dirigeant d’entreprise, le FRNG doit rester positif, car ce FRNG ne constitue pas la trésorerie de l’entreprise, il doit ensuite être utilisé pour financer le Besoin en Fonds de Roulement (BFR).

Besoin en Fonds de Roulement = Stock + Créances clients – Dettes fournisseurs

L’analyse du risque de perte

L’analyse du risque de perte consiste principalement à obtenir le seuil de rentabilité à partir de la détermination des charges fixes.

Pour mémoire, le seuil de rentabilité se définit comme suit :

SR = Charges fixes / Taux de marge sur coût variable

A la lecture du compte de résultat détaillé, il convient d’isoler les charges qui ne varient pas en fonction de l’activité tel que le loyer, les assurances, les coûts administratifs…

Evaluation de sa capacité d’emprunt

La capacité d’emprunt est obtenue à l’aide de la capacité d’autofinancement. Il s’agit du principal critère utilisé par les établissements financiers.

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Réformer les concepts comptables pour une meilleure comptabilité !

Les théories et les concepts comptables que nous utilisons usuellement ont été créés durant le XIXème siècle.

Par exemple, la théorie du bilan a été énoncée par Emile Dumarchey (XIX), les tableaux de flux de trésorerie sont nés dans les années 70…

Par ailleurs, le livre “The end of accounting and the Path forward for investors and managers” écrit par Baruv Lev, nous fait prendre conscience de l’absence de mutation des modalités de représentation comptable de l’entreprise, et plus particulièrement de l’absence de prise en compte des nouveaux modèles économiques issus de l’économie numérique (coût marginal zéro…).

Dans ce contexte, nous nous proposons de mener une revue critique des concepts comptables, afin de les rendre plus adapté au modèle économique contemporain, suscité par l’économie numérique.

Certaines explications des concepts comptables sont issues du livre Dictionnaire historique de comptabilité des entreprises, D. Bensadon, N. Paquin, B. Touchelay (dir.) Edition Septentrion.

  • Le capital et les capitaux propres

La notion de capitaux propres a dès son origine eu pour objet de protéger les créanciers de l’entreprise et durant le XIXème siècle, leurs actionnaires, lorsque sous l’effet de l’industrialisation, les entreprises ont été conduite à faire appel public à l’épargner afin de financer leurs investissements.

C’est pour ces raisons que le législateur a retenu le principe de l’intangibilité du capital social.

C’est le Plan Comptable Général de 1982 qui impose la notion de capitaux propres, à partir de la définition de la situation nette définie par Dumarchey.

Pour mémoire : Situation nette = Actif – Passif

Notre proposition consiste à faire apparaitre la situation potentielle, définie par Dumarchey comme étant les variations de la situation nette suscité par le mode d’évaluation (valeur de marché) des actifs à l’inventaire. Ainsi, l’évaluation d’actif à leur valeur de marché, peut conduire à modifier la situation nette, puisque les actifs sont inscrits à leur coût historique.

Il s’agit de faire apparaitre le goodwill généré par la création d’actif immatériel (détention de données clients, prospects, acquisition de nouvelles connaissances et compétences…).

Ce goodwill sera évalué à l’aide d’indicateurs commerciaux.

Chaque donnée de prospect et de client rapporte à l’entreprise :

la population totale x le taux de conversion x panier moyen

Ensuite, il nous apparait judicieux de faire apparaitre les apports potentiel en capital social, en d’autres termes les futures levées de fonds, en fonction de l’atteinte des objectifs de développement définis par les capitals-risqueurs.

Ces futures levées de fonds peuvent être évaluées de différentes façons :

  • Potentiel de croissance suite à la commercialisation d’une innovation
  • Montant levables pour les acteurs du secteur dans le cadre de la stratégie sectorielle
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La comptabilité, une datavisualisation utile au dirigeant d’entreprise !

Executive summary : In order to make accounting more relevant, we think that datavisualization can help.

Les experts-comptables et leurs collaborateurs peuvent constater que leurs clients, dirigeants de PME, n’ont pas une compréhension exhaustive des états financiers (bilan, compte de résultat, annexe) qui leur sont présentés.

Or, les états financiers peuvent être riche d’enseignements qui peuvent être mobilisés lors de la définition de la stratégie de l’entreprise, et pour gérer l’entreprise au quotidien.

Par ailleurs, si on considère que l’entreprise a besoin de capitaux extérieurs, notamment ceux lié au crowdfunding (financement participatif), pour assurer son développement, il convient d’améliorer l’efficacité de sa communication financière (voir l’article « La communication financière au service du développement de votre entreprise »).

Qu’est ce que la datavisualisation ?

La datavisualisation sert à présenter rapidement et de manière intelligible un ensemble de données. Elle se distingue de l’infographie par son mode de production. L’infographie est intégralement produite par l’Homme, alors que la datavisualisation consiste à mettre en forme des données à l’aide d’algorithmes.

Qu’est ce qu’une bonne data visualisation ?

Une bonne datavisualisation rend l’information lisible et accessible au public. Elle est porteuse de sens, et elle interpelle le public.

Quels sont les apports de la datavisualisation à la comptabilité ?

  • Améliorer la compréhension des états financiers par les dirigeants, et les potentiels investisseurs,
  • Identifier des relations, des corrélations entre des données internes de toutes natures (Ressources Humaines, Mercatique (marketing), Recherche & Développement (R&D)…), et les agrégats financiers (chiffre d’affaires, résultat net, goodwill…),
  • Améliorer la précision des états financiers prévisionnels.

Comment la comptabilité peut pleinement bénéficier de la datavisualisation ?

Tout d’abord, il convient d’intégrer le fait que la représentation comptable de l’entreprise, doit être plus large que les états financiers tel qu’ils sont présentés. Il convient de les enrichir de données extra-financières tel que RH, R&D…

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La communication financière au service du développement de votre entreprise

Les PME sont peu habituées à pratiquer la communication financière, si ce n’est dans une forme très succincte, tel que la communication des comptes annuels et de la liasse fiscale auprès de leur banque.

Par ailleurs, les PME optent dans une très large majorité, lors du dépôt de leur comptes annuels, pour l’option dite de confidentialité.

Cependant, les besoins de capitaux liés à la politique de croissance et à la politique d’investissement de l’entreprise requiert que la Direction adopte une démarche de communication financière.

Une pratique professionnelle de la communication financière permet de crédibiliser l’entreprise vis-à-vis de ses partenaires.

La communication financière consiste à expliquer, à illustrer la stratégie et les résultats de l’entreprise, à souligner ses spécificités par rapport à ses concurrents, et à présenter ses perspectives de développement.

Ainsi, le manque de formalisation de la stratégie d’entreprise peut conduire le dirigeant de l’entreprise à difficilement mettre en œuvre un plan de communication axé sur la communication financière.

C’est pour cette raison que nous proposons une méthodologie rigoureuse de diagnostic stratégique et financier.

Dans cet article, nous nous focaliserons sur les pratiques de communication financière qui peuvent être adopté par les PME qui souhaitent s’engager dans une perspective de croissance.

En amont de la communication financière, il convient :

  • D’établir un diagnostic stratégique et financier précis de votre entreprise,
  • De préciser les enjeux qui pèsent sur votre entreprise, tant dans le micro que dans le macro environnement,
  • Définir un plan d’action et d’investissement qui permet de répondre aux enjeux.
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Améliorer le diagnostic stratégique de votre entreprise grâce à la comptabilité !

Rendez vos investissements plus créateur de valeur !

Les outils traditionnels de diagnostic financier permettent de correctement interpréter la performance économique passée de l’entreprise par la production de ratios financiers.

La lecture des ratios financiers conduit l’expert-comptable à formuler des recommandations qui relèvent :

  • Du contrôle de gestion (analyse de la marge, analyse des coûts),
  • Une analyse du BFR (Besoin en Fonds de Roulement), qui permet également de mener une analyse de la variation de la trésorerie.

Ces recommandations permettent aux dirigeants de l’entreprise de correctement administrer son entreprise au quotidien. Cependant, ces informations ne lui sont d’aucune utilité pour formaliser sa stratégie, et concevoir son plan d’investissement qui déterminera l’avenir de l’entreprise.

Ainsi, de manière générale, les dirigeants de PME ne s’adressent pas à leur expert-comptable pour définir leurs stratégies.

Par ailleurs, les dirigeants de PME disposent rarement de conseil extérieur en matière de stratégie d’entreprise, puisque ceux-ci sont très onéreux et qu’il existe relativement peu de cabinet de conseil en stratégie d’entreprise.

Dans ce contexte, il nous est apparu pertinent de construire un outil de datavisualisation qui mobilise les données comptables, sectorielle, et un questionnaire de prise de connaissance de l’entreprise, afin de permettre au dirigeant de PME de construire la stratégie de son entreprise, et son plan d’investissement.

Lors de la conception de cet outil, nos hypothèses ont été les suivantes :

  • Afin d’assurer le développement des PME et faciliter la mise en œuvre de leur stratégie d’entreprise, il est nécessaire de mobiliser des partenaires extérieurs, qui apportent des capitaux (financiers, ressources humaines, …) complémentaire à ceux déjà détenus,
  • La théorie de la stratégie sectorielle qui consiste à construire la stratégie de l’entreprise à l’aide de l’identification des dysfonctionnements du secteur d’activité, qui une fois résolus, permettent à l’entreprise de générer une innovation de rupture.